Voila seulement quelques heures que je suis rentré du WordCamp Bordeaux 2017. J’ai eu la chance d’y faire une conférence.
Bien que j’écrive ces lignes tout de suite après l’évènement, je sais pars avance qu’il ne sera lu que bien plus tard… Voir vraiment plus tard 🙂
Parce qu’au moment où j’écris c’est ligne, bah ce blog est bien loin d’être au stade “remise en ligne”. L’article n’est pas encore écris, mais je sais qu’il existera, et qu’à un moment donné il existera. À ce moment là, je viendrais sur ce billet, et je glisserais un petit lien qui t’expliqueras tout sur “WCommerce.tech”.
je pense que tu auras déjà tout lu sur ces WordCamp. j’aurais sérieusement rien de nouveau à te dire en te parlant des conférences.
Je vais plutôt te parler de moi. Ouais, c’est comme ça. Enfin, moi au WordCamp quand même. j’suis pas sur mon blog perso ici :p
Ça sera aussi pour moi l’occasion de faire un genre de transcript de ma conf tiens. Un genre j’ai dis.
Au rapport mon Général
Bon, j’te passe le côté voyage de Arles à Bordeaux. Et je te passe aussi ma déception à la découverte d’une ville bien triste par la couleur de son ciel. Que cela était gris…
Le WordCamp Bordeaux 2017 c’est d’abord ouvert la veille au soir des conférences. Au magasin Général. Un super endroit soit dit en passant. La pinte de bière y était à un prix raisonnable et l’endroit se prêtait plus que bien au rassemblement des organisateurs, bénévoles, sponsors et orateurs d’un tel évènement. En plus d’être plus que dimensionné pour recevoir un joli groupe de 50 personnes; le lieu est un lieu de liberté; liberté qui semble être encore une fois remise en question. WordPress est avant tout un projet libre; joli clin d’œil.
Le Magasin Général, c’est dar !
Enfin, on va parler de bouffe tout le temps hein.
Bien que je connaissais quelques têtes, un peu plus de deux ans sans trop fréquenter la communauté, dans une ville que je connais pas; je te laisse imaginer que j’étais bien loin de connaître tout le monde.
Chaudement accueilli par FX (@fxbernard), je me suis ensuite rendu vers une table rempli de tête nouvelle; mais je m’étais laissé entendre dire que c’était tous des orateurs. Ils ne devaient pas bien être méchant 🙂
https://twitter.com/RashelMedia/
Ainsi, j’ai eu le très grand plaisir de rencontrer une foule de personne intéressante. Comme il va bien falloir commencer par quelqu’un, il va falloir renoncer à le faire pour les autres. J’ai eu la chance que Rashel (@RashelMedia). Nous avons eu l’occasion d’échanger sur de nombreux points; mais la condition de la développeuse sera sans nul doute la partie que je conserverais.
https://twitter.com/RashelMedia/status/842823891001262080/photo/1
Ensuite, comment ne pas tout de suite parler de Eli Slaïm (@ElieSl). Si je te dis OpQuast. Ah bah ouais, tout de suite, ça te parle un peu plus je pense. En fait, je vais pas te la faire à l’envers. J’y connaissais juste que dalle en accessibilité. Jusqu’au jour où j’ai vu la ligne RGAA dans un appel d’offre public. Alors forcément, ça question. Et OpQuast, bah il répond voyons. Et cette découverte, elle datait pas d’il y a dix ans, mais de quelques jours avant que j’apprenne qu’il sera dans la conférence. Synchronisité… Synchronisité ! C’était donc un véritable plaisir de le rencontrer. En plus, c’est un personne plein de convictions; qui aime débattre; et qui semble aimer sa liberté. Enfin, je dis ça, je dis rien. Le prix de la pinte est vraiment raisonnable au Magasin général je te disais juste avant…
j’adore le roller. Alors manger en présence d’une championne d’Europe de slalome, t’imagines que ça fait plaisir. On va pas se mentir. Même ancienne championne, ancienne Parisienne et actuelle Bordelaise et à la tête d’une entreprise qui ne semble pas connaître la crise, Gabrielle (@editoile) semble avoir une immense réserve d’énergie communicative.
Pour débat, il faut deux personnes. Enfin… Je crois. Nan ? T’en penses quoi toi ? Bref, moi je pense que oui. Le débat sur la spoliation de l’information par Google, avait en plus d’Eli, Yannick (@yannickgaultier) était présent; dans un registre fort différent. Bien plus posé. Il ramenais le débat sur un terrain pratique; Éli le relançait d’un point de vu philosophique. Sympa les conférenciers invités au WordCamp.
Ce moment était aussi important car j’ai eu la chance d’être avec ni plus ni moins que l’Homme derrière Polylang (@polylang)! On parle juste d’un plugin ayant plus de 200 000 installations activés… Une broutille quoi !! :p
Je me serais laisser entendre dire qu’un support avancé de WooCommerce allé se conjuguer avec PolyLang. C’est un point majeur de mon point de vue. Wait and See donc. Un plugin multilingue pour le ecommerce est une arme que je considère comme quasi indispensable. Je reste aux aguets sur ce point.
Bien que de manière plus furtive, j’ai rencontré aussi la nouvelle tête bien drôle de Benoît (@bmercusot). Un personnage tout de suite sympathique. Va pas dire de lui que c’est un dév WordPress, tu lui ferais perdre au moins 250€ par jour. T’es fou. Nan, lui, c’est un consultant WordPress. :p
Tu vois, le truc, c’est que je suis pas véritablement ce que l’on pourrait appeler une personne ayant une bonne mémoire des prénoms… Et je vais pas te mentir, mon petit badge avec le nom des conférenciers m’a bien aidé à retrouver les noms. Autant les têtes y’a pas de soucis. Mais les prénoms. Quoi de plus arbitraire après tout ? Alors bon, même si j’aime bien faire de la lèche quand je le pense sincèrement, autant là, il va falloir que je le fasse à titre collectif, car je me souviens juste qu’un grand nombre de personnes s’est montré à la fois cordiales, et fort intéressantes durant cette soirée.
Jour J; D Day; Heure H
Ouais, j’mets des majuscules où je veux. C’est pas à moi de m’adapter à la langue Française, mais à la langue Française de s’adapter à moi x-)
Bon, il fait encore moche. Merde. Bon ok, on sera enfermé au -1 toute la journée. Je voulais tout de même voir si Bordeaux, c’était beau. Pas des masses convaincus jusque-là.
Première impression arrivé devant le centre des congrès, c’est que l’entrée me semblait bien petite. Mais c’est un palais des congrès T.A.R.D.I.S, c’est plus grand à l’intérieur. Et l’effet est plutôt wouah. Un côté moderne kitch que j’adore.
La matinée c’est bien déroulée. Des conférences intéressantes. Même si cela avait débuté avec quelques minutes de retard, l’ensemble c’est déroulé sans incident. Difficile de croire que c’était le premier WordCamp que cette équipe organisait. Cela se sent que l’ensemble s’est largement professionnalisé.
À midi, un banquet de dingue. Non mais sérieux, c’était bon. Rien que ça…
https://twitter.com/gonele_lionel/status/843180448381632512/photo/1
En parlant d’organisation, j’ai pu papoter des longues minutes avec Aurélien Denis (@wpchannel), re-président de WPFR. Extrêmement intéressant de découvrir que l’association WordPress Francophone avait bougé dans le très bon sens; cela depuis 2015. Je t’invite à aller jeter un coup d’œil à cette association. Va falloir que je trouve un moment pour en faire de même à vrai dire 😉
La suite est plus… stressante pour moi. Et à double titre en faite.
Huston, we have an HDMI problem
La série thinkpad est sans nulle doute, la seule et unique série d’ordinateur portable qui puisse se targuer d’être pro. Mais voila; pro il y à 7 ans, et pro maintenant, c’est deux choses. En fait, non. Cela ne m’avait juste jamais posé de problème d’avoir un x201tablet jusqu’ici. (merde, je viens d’aller voir les prix, il vaut plus rien ce portable. Sérieux, si tu achètes un SSD avec, je trouve que ce portable est une bombe pour les présentations, et bouger avec.)
Bref, la c’est pas glop puisque mon gentil portable n’a pas de sortie HDMI. Bon, ça n’avait juste jamais posé de soucis. Puisqu’on utilise pas de port HDMI sur les retros normalement. Sauf que là, ce sont des télévisions, pas de rétroprojecteurs. La blague 🙂 Je suis pas encore un pro des conférences. J’apprends donc que la télé est maintenant le nouveau rétro. OK, ça c’est noté. Toujours est-il qu’à ce moment précis, c’est la panique. En effet, on s’était donné rendez-vous après manger. Soit à 13h30; soit 30 minutes avant la reprise. Je passais à 15h, mais la salle serait indisponible tout de même à partir de 14h. Non. Pourquoi cela m’aurait-il stressé. Après tout, la loi de Murphy, elle existe pas. Ah, on me souffle qui si en fait.
Bah ouais ce qui devait arrivé arriva. Le convertisseur qu’un adorable organisateur avait prit le soin de prendre, je sais pas, ils avaient pas l’air super potes. Pas moyen de le faire marcher. Il est que 13h42 après tout.
13h46, un autre super organisateur arrive, me passe son Mac. Problème, toutes les polices de caractères ont sautés. Le résultat était mitigé. Mais bon, ça avait le mérite de fonctionner. Et surtout, il y avait InDesign sur le PC, et c’était bien le plus important.
13h58, un gars genre type de la sécurité que t’as pas envie de faire chier mais qui se sape bien parce qu’ici, c’est un palais des congrès, arrive d’un pas fort décidé vers nous; dans ces mains, un boîtier normal. Mon sauveur. Il branche tout. 14h00, mon PC est branché; tout fonctionne; je peux le débrancher; il est 14h01. Ça c’est du timing de ouf pour le palais des congrès 😉
Je prend un moment pour moi avant la conférence. J’adore les montées d’adrénalines. Mais faut tout de même que ça retombe un peu avant.
The empty room
Tu vois, la veille au soir, j’entends un truc qui me surprend vachement.
On a vendu 300 places. L’amphithéâtre fait 300 places. La petite salle fait 150 places.
Ce à quoi je me permets de répondre.
Bah merde, ça veut dire qu’il y a le risque d’avoir une conférence où il y a juste personne.
Euh… Tu me vois pas venir là avec mes gros sabots ? En bah si ! La salle était vide ! Mais LOL.
Enfin vide… Oui et non en fait.
J’avoue que sur le coup, je suis surpris. Mais pas tant que ça. Je suis loin d’être tout le temps un abruti. Quand je vois qu’en fasse il est question de SEO, et que moi je vais parler de “politique de fusion online et print”, pas besoin de sortir de la cuisse de Jupiter pour connaître le résultat.
Je me laisse pas déconcerter, et je prends conscience que les gens qui sont présent sont vraiment intéressés à titre professionnel par le sujet que j’allais aborder.
J’ai pris un grand plaisir à faire cette conférence. Je crois que je suis en parti fait pour cela. C’est une forme de partage que j’adore. Bref.
Please be kind, reward
On y est, je vais te faire un genre de transcript de ma conférence au WordCamp Bordeaux 2017.
Je commence cette présentation en parlant d’un certain Narkoz qui est tombé sur une tonne de scripts dingues. Un gars qui semble t-il a automatisé tout ce qui lui prenait plus de 90 secondes. Il y a des tonnes d’exemples drôle, autant d’un point de vu script pro, que perso. Mais certains étaient croustillant. Comme le script Geule de bois; spéciale dédicace au WordCamp Bordeaux.
Bien que le type ait poussé le truc un chouillat loin, il en demeure pas moins qu’il s’est souvenu d’un truc, automatiser les tâches répétitives, c’est exactement le but de l’informatique !
Toute la présentation tourne autours de cela. Comment WordPress a-t-il pu contribuer à rendre cela possible.
Et le cela c’est quoi ?
C’est un journal qui utilise son site, tous les jours. Son site lui sert de plateforme de gestion du workflow dans la création de ses articles; aussi bien papier que web. À la fin du mois, un fichier XML est automatiquement généré. Le client l’envoi à l’imprimeur. Celui-ci prend le fichier XML qui lui convient, et le place au bon endroit sur son fichier InDesign. Magie ! Tout se met en page tout seul. C’est juste dingue je trouve. Je connais que dalle à InDesign, mais je sais encore reconnaître un truc ouf. Et la première fois que j’ai vu ça, j’ai trouvé ça ouf. Ce projet à été fait par l’agence pour laquelle je travail. Mais je suis arrivé alors que le projet était plus que bien lancé dans son développement.
Ma présentation prend bien entendu un instant pour parler de l’agence, et du client. Les slides sont claires sur ce point.
WordPress, c’est loin d’être la seule solution qui existe sur le marché. Croire que WordPress est le seul à remplir toutes les conditions techniques serait faux. Alors pourquoi WordPress a-t-il été retenu ? C’est la question à laquelle je tente de répondre sur une dizaine de slides. Car c’est bien l’ensemble de ces questions qui font que WordPress peut aussi bien être la bonne réponse à ce projet, ou pas.
- un CMS libre et Open Source (va pas confondre les deux malheureux), avec une forte communauté; pour la continuité et le support du CMS sur le très long terme (<10 ans).
- le taux d’utilisation de WordPress dans le monde. Bon, cela ne veut généralement pas dire grand chose. Mais cela interroge forcément. Mieux, si autant de sites existent, alors une multitudes de combinaisons est offerts par WordPress. Un véritable plus à prendre en considération dans son choix final.
- le savoir-faire de l’agence. Car même si la technique peut sembler secondaire, se spécialiser est sans nul doute possible la seule manière de bien travailler; ainsi que prendre en charge des projets ambitieux. Le fait que d’autres sites dans le même monde professionnel que notre client semblent l’utiliser est aussi un signe fort.
- la souplesse offertes par WordPress pour la création d’interfaces. En effet, ce projet doit créer un workflow. Qui dit workflow, dit interfaces personnalisées en fonction des profils. Il faut pas se voiler la face, WordPress est pas connu pour briller dans ce genre de chose. C’est bien plus Drupal qui lui vol la vedette la dessus. Alors on le reconnaît sans aucun soucis. Oui WordPress impose un carquant sur ce point. Mais cela est-il mécaniquement un problème ? Non, si ce carquant nous sied à merveille.
- la simplicité offerte par le CMS retenu. Pas pour le développement. Mais pour l’utilisateur final. Si vous devez former des dizaines de personnes sur une interface. Autant faire ce peu pour quelle soit la plus simple possible non ? 🙂
- les plugins. Sérieusement. Redévelopper une fonctionnalité qui est supportée à 100% par un plugin ? Ça serait pas vraiment pro de notre point de vue. Cela limite à la fois le coût de cette fonctionnalité, et permet de concentrer le budget sur les points vitaux du projets. Ceux qu demandent beaucoup de personnalisation. En plus, à chaque fois qu’ils se mettent à jours, de nouvelles possibilités fonctionnelles sont offertes au site web. Cela demande un peu de TMA. Mais c’est un véritable gain sur le court, moyen et long terme pour le client.
- l’évolutivité. Le projet étant pensé de base par étape, le CMS devait le supporter de base.
- WordPress #OFC #CaptainObvious
Ensuite je présente dans un premier temps la refonte graphique du site web. Intéressant notamment pour la partie recherche, et mise en avant de l’agenda.
On découvre aussi que grâce à la mutualisation du travail sur le web, il avait été possible au maquettiste d’intégrer des catégories dans le journal. Ce qui jusqu’alors, était impossible.
Mise en avant du WorkFlow pigistes. C’est sans nul doute le plus complet, donc le plus intéressant à étudier. On y parle :
- Profils utilisateurs
- Demande de piges, validation, circuit de retours
- Mutualisation des interfaces web / print
- Et surtout, surtout… de l’export import du XML
L’effet Bonaldi ayant frappé avant le live (donc ce n’est pas l’effet Bonaldi sur ce coup là), tout c’est parfaitement déroulé. L’intégration s’est parfaitement déroulée. j’admets avoir ressenti de la fierté à montrer ce que l’agence pour laquelle je travail avait réussi à faire. Un outil qui m’impressionne.
Si on se dit que ce travail représentait avant deux jours de travail par mois. Et qu’il le faisait douze fois par an. On peu dire, je pense sans se tromper, que cela fait juste économiser 24 jours de travail par an. Juste ça…
Un applaudissement à tout de même suivi tout de suite. Merci :p Les autres étaient encore sous le choc du nombre de jours gagnés en un an. Cela juste avec un site WordPress très bien pensé.
Un petit tout sur une autre particularité du projet, la gestion des dates. Ensuite, on soulève le capot.
Je parle de gestion de la publicité. Je parle du plugin que nous avons retenu. Sérieusement, on va pas demander au client de payer pour le redéveloppement complet d’un système de gestion de pubs; alors que d’une, c’est pas le but premier du site et que de deux, ça existe déjà. Advanced Ads a été retenu. J’explique pourquoi.
Les statistiques fournies par le site sont peut-être sommaires. Ce qui n’est fait pas moins des données intéressantes à regarder. Ce qui est surtout très intéressant, c’est la manière dont sont compilés ces datas, et surtout, d’apprendre que ce sont des datas utiles pour le print, et pas le web.
Comme je suis un grand curieux, je pense que les autres le sont tout autant. Alors je dévoile l’écosystème retenu. Que cela soit sur le framework utilisés, que les plugins.
Le framework, c’est Themosis. Comme j’ai pas envie de tout retaper, je dirais juste la conclusion. Themosis, c’est le framework pour les développeurs WordPress qui s’intéressent de prêt à l’esprit Symphony. un hochement de tête dans l’auditoire ayant confirmé cela… j’ose l’écrire 🙂 Faire du Themosis, c’est plus vraiment faire du WordPress de base.
J’ai eu le plaisir de terminer sur la présentation de 6 plugins que sont :
- ACF. Ok next, pas besoin de le présenter celui-la.
- Advanced Ads. Ok,, déjà spoilé en fait.
- Contact Form 7. Basique ? Oui et non. Car là, il est intégré en back office, et sert au système de mail interne au WorkFlow.
- Sitemap Generator. Le seul gentil générateur de sitemap à bien vouloir fonctionner normalement.
- User Role Editor. Un rôle majeur dans la création des interfaces du workflow. Certes customisé, mais super utile.
Clap de fin à 5G
Bon, y’a un truc que j’t’ais pas encore dis. C’est perso. On parle plus du WordCamp la. Tu peux passer à la suite si ce genre de truc te gonfle.
Le soir, je ne me suis pas rendu à l’after du WordCamp. J’avais eu ma dose de barbus pour la journée :)))) Plus sérieusement, ma femme et ma fille était aussi du voyage. À Bordeaux; pas au WordCamp. T’es fou. Elles s’en tapent, mais d’une force… #LoveAndKitten.
Et voila qu’il y avait pas un genre de foire du trône. Le truc lorsqu’on a une gamine de bientôt 17 ans, c’est qu’elle te balance un truc du genre :
Je veux faire l’attraction qui fait le plus peur ce soir.
Bah je vais te dire que tu vas la faire toute seule ton attraction.
Enfin… c’est ce que j’ai cru. Comment résister à sa gamine, existé comme une puce qui n’a jamais fait de manège vraiment de ouf. Et qui veux le faire pour la première fois avec son papa, pour avoir des souvenirs tu comprends.
Saloperie de gamin.
Je me retrouve dans la file pour un putain de manège, avec un bras télescopique de 65 mètres et qui t’annonce fièrement que tu va prendre 5 G dans la tronche, à la vitesse de plus de 100 kilomètres heures. Trop youpy.
https://twitter.com/SebGrillot/status/843179537236201472/photo/1
Mais quelle expérience ouf. J’adore les manèges qui vont vraiment vite. Mais je hais la hauteur. C’est pas que je la hais. C’est que j’en suis juste terrorisé. Mais à un point… Juste truc de ouf. Au début, se faire prendre pour un sac à patate aussi haut, ça m’a pas véritablement réjouie. Mais au bout d’un moment, ma fille hurlait tellement, que j’étais juste mort de rire. Je me suis déridé. Et j’ai kiffé.
Enfin… Jusqu’au moment où le bidule s’est immobilisé en haut, pour laisser descendre les gens de “l’autre côté du bras”. J’ai cru que j’allais mourir. Rien qu’à cause de ça, impossible de le refaire une deuxième fois je dois avouer.
It’s is the end of the beginning
Terminer la journée des WordCamp sur cette excellente note est le reflet de l’ensemble. Même avec un groupe réduit, s’il est de qualité, on peu faire des choses géniales 😉 #WPFamily
Une seule manière de conclure l’ami(e) : Vivement 2018 !
PS : À oui, et bordeaux alors, c’est moche ?
Tiens je me rends compte, je dis par deux fois qu’il faisait moche à Bordeaux. Alors, le moins que l’on puisse dire c’est que la ville y est pas pour grand chose. Mais en tout honnêtement, je suis très mitigé sur cette ville. Son centre ville semble être plutôt bourgeois et jeune. Très agréable. Rien à redire. Par contre, dès que l’on sort du centre ville, pour se rendre dans le quartier où j’étais, pas loin de la gare, bah c’était vraiment bof. Mais après, je suis pas certain que le quartier de la gare dans une grande ville soit jamais bien top top top…
Alors je dirais : Balle au centre, et on en reparle en 2018, ok ?